Créations d'Amélianne

Sujet: Créations d'Amélianne Ven 2 Nov 2007 - 20:56

Puisque je possède déjà une forge, inutile de poster mes créations graphiques ici.

Poèmes

Premier:
Ton rire franc est aimable,
Et tes yeux pétillants adorables,
Te connaitre remplie ma vie,
D'une énergie qui n'a pas de prix.
Sans toi rien est pareil,
Comme une ruche sans abeilles.

Si un jour tu devais t'en aller,
Tu ne seras jamais oublié
Car tout au fond de mon coeur,
Il y a un nom écrit en l'honneur,
D'un ami fidèle et blagueur.
Et oui ce nom est le tien,
Écris tout près du lien,
Inneffacable et incassable,
Celui qui nous rend inséparable...

Deuxième
Aucun mot pour décrire,
À quel point j'aime te voir sourir,
Entendre ta voix, répend la joie,
Il ne faut pas que tu parte lion là-bas,
Même si cela ne parait pas,
Je tiens vraiment à toi.
Ne plus jamais te revoir,
Me plongerais dans le désespoir,
Toi qui m'a appris,
A profiter de la vie.
Sans toi, ma vie n'a plus de sens,
Je deviendrai un âme errante.

(Y'a pas de rapport entre certaine phrase mais mes amie les trouvent cool)

L'Elfe

Toi au oreilles pointues,
Caché dans les arbres touffus,
Tu observe de loin,
Nos combts sans fin.
Toi qui ne veux pas la geurre,
Il va falloir t'y faire.
Le monde est cruel et sans pitié,
Toi seul peux nous sauver.
Tu n'as pas d'ennemi,
Jusqu'au plus loin de la galaxie.
Près d'un lac à l'eau clair,
Tu voudrais nous montrer ce sanctuaire.
Mais nous aurions tôt fait de la gacher,
Plus rien n'y serais repousser,
Près de ta maison aujourd'hui abandonnée, délabrée, oubliée...

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Textes

Karmey d'Elfe
(écris lorsque j'étais en troisième année.)

Une journée pleine de péripéties allait commencer en cette journée de soleil. Karmey, une jeune elfe de onze ans, partait pour se rendre à Émeraude, car, dans quelques jours, il y aurait la sélection des nouveaux élèves. Elle quitta donc sa famille et ses amis le cœur en peine.

Après deux jours de marche, Karmey arriva enfin devant le magnifique château d’Émeraude où des gardes et des palefreniers se parlaient et s’entraînaient. Elle trouva ce spectacle merveilleux. Elle rêvait depuis plus de trois ans de faire partie des nouveaux Chevaliers de la deuxième génération. Elle qui n’est pas patiente, a sue attendre le temps qu’il fallait pour accomplir son rêve.

Lorsqu’elle sortit de la grande cour du château, elle trouva une auberge en attendant d’aller rejoindre sa tante qui habitait à l’autre bout du village. Elle dîna donc là et repartie ensuite avec son cheval pour arriver le plus vite possible.

Dans le chemin, environ trente minutes après son départ, elle entendit un bruit…un chat sauvage! « Cette bête en provenance de Rubis c’est peut-être égaré. »pensa-t-elle. Mais lorsqu’elle le vu sortir de sa cachette, elle vit que c’était seulement un chaton. Elle le prit donc dans ses bras et repartie avec lui. Fière d’elle, elle repartie au galop vers la ferme de sa tante Luncindia.

Une heure plus tard, la voilà enfin arrivée a destination. Elle alla reconduire sont cheval, Sparki, prêt de celui de sa cousine et poussa le portail menant dans la petite maison.

- Bonjour les filles! dit-elle.

- Bonjour Karmey! Dit Luncindia, tu as drôlement grandit depuis le dernière fois!

- Je sais. Est-ce que Marjoriqua est là? Demanda-t-elle à sa tante.

- Oui, elle est dans les champs en train de jouer avec ses pouvoirs.

- D’accord, merci.

- Je vais la chercher et en attendant, va t’installer dans le grenier elle va t’y rejoindre.

Au deuxième étage, il y avait les chambres, ainsi que l’escalier menant au grenier. Il y avait deux chambres sur l’étage et une dans le grenier. Karmey aimait beaucoup sa chambre dans le grenier car Marjoriqua pouvait venir dormir dans sa chambre en amenant son matelas et en plus cela les faisaient pratiquer leur pouvoir de lévitation et leur force. Puisqu’elle n’avait rien à faire en attendant Marjoriqua, elle se mit a fouiller dans le vieux coffre qui était dans le coin depuis la première fois qu’elle était venue ici. Elle ouvrit et se mise à fouiller dedans. Elle trouva des vieille lettres venant de sa mère lorsqu’elle communiquait avec elle. Lorsqu’elle voulue commencer à lire, Marjoriqua entra en courant.

- Karmey! Cria-t-elle, tu es enfin arrivé!

- Oui! Répliqua-t-elle.

- Vient, on doit aller souper.

- D’accord, après toi, dit-elle.

À la fin du repas, Karmey et Marjoriqua lancèrent :

- Mes compliment au chef, c’était délicieux!

Un ronronnement se fit entendre comme quoi le gobelin qui faisait la cuisine était satisfait de leur compliment.

Une heure plus tard, les deux filles partirent chercher du bois et Karmey en profita pour aller libérer le chaton et vit sa mère, lorsqu’elle vue son petit, elle remercia Karmey. Compris cela car elle comprenait les animaux. Elle partirent le feu et une heue plus tard allèrent se coucher car une grosse journée les attendait demain.

Lorsque l’aube apparue, les deux filles étaient déjà debout pour aller faire les taches de la ferme pour finir le plus tôt possible voir Maître Shell, le magicien d’Émeraude.

Le travail qu’elles avaient a faire étaient d’aller reconduire les animaux dans leurs enclos et de les nourrir. Une heure plus tard, les deux filles avaient terminé la besogne et partirent avec Lucindia vers le château.

Arrivées au château et après deux heures d’attente dans la file Karmey passa enfin, et ensuite Marjoriqua.

- Bonjour, dit Shell amicalement, quel est ton nom?

- Karm…Karmey monsieur Shel.

- Bien. Pourquoi veux-tu devenir Chevalier de la deuxième génération?

- Pour pouvoir aider les gens avec mes bras et mes pouvoirs. Et aussi pour défendre Enkidiev contre les envahisseurs.

- Fait moi donc une petite démonstration de tes pouvoirs s’il te plaît.

- Ça, c’est la nature que je peut contôler.

Elle vit une fleur fannée sur le bureau et se concentra, elle redevint belle et en santé. Elle vit la cheminée et décida de faire un petitfeu puisqu’il fesait froid dehors. Elle fit lévitée les buches et alluma le feu avec son pouvoir . Même si elle les contrôlaient à peine, Shell était surpris par ses compétence.

- Bien je vois que tu es fatigué alors dit-moi ce que tu sais faire d’autre.

- Je comprend les animaux et j’ai des bras fort! Dit-t-elle fière d’elle.

- Très bien, puis-je voir la personne qui t’accompagne?

- Bien sûr monsieur Shell.

Elle fit tentrer Lucindia.

- Bonjour, je suis Shell, magicien d’Émeraude.

- Moi c’est Lucindia.

- Bien, pouvez-vous me parler de Karmey?

- Elle a le même caractère que l’ancien Chevalier Mia, mais sais très bien lorsqu’il faut être sérieuse et quand lancer un bonne blague.

- Parfait, vous aurez des nouvelles d’ici deux jours.

- Bien, au revoir.

Après les deux entrevues, elles repartirent et deux jours plus tard, elles reçurent les réponses. Malheureusement, Marjoriqua ne fut pas accepter.

Les adieux furent difficile mais Karmey s’en remis plus facilement que prévu, prouvant qu’elle était forte autant mentalement que physiquement.

Lorsqu’elle fut adoubée, elle ne se souvenait presque plus de sa tante et sa cousine. Elle se maria cinq ans plus tard avec le Chevalier Holden, sont ancien maître, ils eurent deux enfants soit Mirielle et Farenir. Ils furent tout les deux Chevaliers plus tard.

Sujet: Re: Créations d'Amélianne Ven 2 Nov 2007 - 20:57

Puisqu'il ni avait plus de place dans l'autre post, je continu dans celui-ci.
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La véritable histoire de Karmey et Moylyne
(écrit en 5e année)

Prologue

Il y a maintenant plus de mille ans, une guerre à éclater a l’intérieur des Terres de mon père. Certains Dieux-Déchus ont voulus prendre le pouvoir. Ils ont créés une secte où tout ceux qui était contre les choix des souverains se rassemblait, pour commencer une guerre contre eux. Seulement vingt mille personnes se sont jointes à eux. Les souverains de tous les royaumes ont décidés de rassembler le plus rapidement possible des enfants et adolescent aillant la capacité de ce battre avec ou sans magie.

Le magicien de la Terre du Dragon et les autres ont commencé l’entrainement de ces jeunes qui ne voulait pas voir leu proche souffrir de cette guerre! Seulement quatorze enfants survécurent à la bataille finale, tous les adolescents moururent aux mains de l’ennemi a cause d’une trop grande confiance en soi. Depuis ce jour, ces images restèrent gravées dans l’esprit de mon père, qui avait participé à la bataille, le dernier adulte à avoir des pouvoirs magiques a vue tous ces jeunes mourir devant lui, tous ces jeunes souffrir, crier, pleurer et tomber. Il a été le seul adulte à voir tous ça, mais surement pas le dernier.

Les Dieux-Déchus de la secte ont décidé de s’appeler tous simplement Dieux parce que pour eux, cela signifiait qu’il était supérieur, mais c’était faux. Un homme en a combattu plus deux mille en une nuit, certains enfant près de cent, et d’autre malheureusement seulement un ou deux.

Mais mystérieusement, tout les Dieux étaient les adultes à avoir eu des pouvoirs magiques. Il avait laissé leur femme ou leur mari, ainsi que leurs enfants.

Depuis, une cinquantaine d’années plus tard, la guerre dure, de plus en plus d’enfants naissent magique ou pas dans l’espoir de devenir un jour de grands guerriers, mais plus aucun magicien ne vit, mort en l’honneur de leur monde, de leur pays et de leur espoir qu’un jour, certaines personnes du continent retrouvent la paix d’autrefois.

C’est ainsi que notre monde entra dans une guerre sans fin, où une vie pleine de danger attend les guerriers, même les plus redoutable on des chances de ne pas s’en sortir…

Chapitre 1
Le séisme

Depuis la dernière attaque des Dieux, il y a maintenant de cela deux mois, moi et ma sœur, Moylyne, ressemblèrent le plus de gens possible pour combattre lors de la prochaine attaque des Dieux. Chacune dans notre royaume, nous envoyèrent des missives dans tout le continent, mais aucun royaume ne leur répondit. En se demandant ce qui pouvait bien se passé sur le continent depuis le terrible séisme de la veille, qui à séparé le continent en deux, celui des Dieux-Déchus et celui des Dieux. Je décidai donc d’aller demander des renseignements à mon père.

Arrivée dans la salle des souvenirs, où était exposé touts les armures des vaillants combattant dont on avait retrouvé le nom et le corps. J’allai me mettre à genoux devant celle de mon père, Tristan. Je passai une chaîne en or autour de mon cou et prononça des paroles si vite qu’aucune de mes servante purent comprendre. Soudain apparut un homme aux cheveux brun-roux, aux yeux vert où l’on pouvait voir de la fierté mais où ruisselait beaucoup de tristesse.

- Père?, dis-je, le regard inquiet. Qu’avez-vous?

J’ai ressentit le choc du séisme hier et j’ai vu l’approche des bateau des Dieux, répondit-il, mais je sens que ce n’est pas là question que tu voulais me poser.

- Non, en effet. Je voulais vous demandez si vous saviez pourquoi aucun des royaumes ne répond à nos missives.

- Oui, dit-il, ton messager c’est fait abattre par un espion des Dieux. Je ne peut rester plus longtemps, on m’appelle...

Il disparut, « Au moins, j’ai eu ma réponse… » Pensa-t-elle.

J’appris la nouvelle télépathiquement à Moylyne et courut jusqu'à ma chambre, pensant que cette personne innocente avait périe. Curieusement, en sondant le continent, elle remarqua que tous les enfants, adolescent et adulte aux pouvoirs magique Était intacte, contrairement au autre qui était presque tous blessé quelque part! Surprise de l’apprendre, je les appelai télépathiquement. Oui?, répondirent tous les enfants en même temps. Nous avons besoin de vous, dit ma sœur. Vous devez venir immédiatement au château de la Terre du Dragon et amener le plus de personne ayant la capacité de ce battre avec ou sans magie et partez le plus rapidement possible, ajoutai-je. Mais pourquoi?, demanda une voie. Parce que les bateaux des Dieux approchent rapidement de nous et que nous devons rassembler une armée au plus vite. Nous vous attendons à l’entré du château de la Terre du Dragon a l’aube dans une semaine ou moins, c’est le maximum de temps que nous avons, faites très vite ou nous sommes perdus.

Chapitre 2
L’arrivée

Les enfants arrivèrent quatre jours plus tard et avait amené avec eux près de mille hommes, femmes et enfants, tel que je leur avais demandé. Nous les attendions maintenant de poing ferme, ces Dieux!

- Bienvenue, peuple d’Égolbe. Je suis le Reine Karmey et voici ma sœur Moylyne.

- Bonjour, dit-elle.

- Ces quatorze enfants vous ont demandé de venir avec eux jusqu’ici pour mener le combat décisif entre les Dieux et nous. Nous allons donc commencer à l’instant le perfectionnement de la magie de ceux qui en possèdent ainsi que le maniement des armes les autre vous irez avec les guerriers pour le perfectionnement du maniement des armes seulement, est-ce bien clair?

- Oui!, Répondit la foule.

Alors entrainons-nous et gagnons une bonne fois pour toute cette guerre! Nos ancêtres ont trop soufferts dans ce monde et nous ne méritons pas de continuer à vivre ainsi! Que tous ceux qui ne sont pas d’accords avec moi, allez vous-en de l’autre côté d’Égolbe!

Tous commencèrent à se séparer en deux groupe pour pouvoir commencer le perfectionnement le plus rapidement possible. [/size]

Après plusieurs mois de dur entraînement, l’armée ennemie arriva enfin et la bataille put commencer. Après près de deux jours de combats interminables. Un enfant abattu le dernier des ennemi. Ils avaient gagné la guerre…

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Histoire de Karmey :

(écris en 5e année)

Je m’appelle Karmey, aujourd’hui surnommée : « la sanguinaire » car je suis impitoyable lorsque je me défends ou défend autrui lors d’un combat. Je suis la fille cadette de Danalieth et ma sœur, Moylyne, est tout mon contraire, c’est pourquoi nous nous entendons si bien ensemble. Puisque Danalieth est mon père, nous sommes des Déesses Déchues, les « chefs » de tout les Dieux. Mais depuis plus de mille ans déjà, une guerre a séparée les Dieux de nous. Ils sont devenus avides de pouvoirs et nous ont attaqués. Heureusement, nous les avons repoussés. C’est d’ailleurs de là que me viens mon surnom de guerre, mais la phrase qui me décris le mieux est de loin celle-ci : « Karmey, la mystérieuse au cœur pur… sœur de Moylyne et fille cadette de Danalieth ». Ma mère a dit cela de moi lorsque je suis venue au monde, une vision? Peut-être. C’est aussi la première et dernière phrase qu’elle m’a dit, avant que sa flamme s’éteigne.
Lorsque j’eus huit ans, mon père remarque que j’avais des tendances guerrières, mais aucune autre personnes de ma famille, mis a part moi et ma sœur n’étais comme ça. Ce n’était pas parce que nous regardions toujours les soldats s’entrainer, non, loin de là, c’était par instinct. C’est ainsi qu’aujourd’hui, Molyne et moi gouvernons mais nous sommes aussi des défenseurs de notre monde propre à nous, les Dieux Déchus…

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Phrases inventé par moi et Evan

Français :

Prenez garde lorsqu’il fait sombre… les esprits sortent des catacombes…
Quelqu’un a brisé mon cœur… mais il n’a jamais cessé de battre…
Pourquoi je ne cesse de me sentir enfermé en présence tant de gens?
Si tu ne crois plus, ça ne servira a rien d'espéré quand même...

Anglais :

Take guard when it makes sinks… the spirits leave the catacombs…

Somebody broke my heart… but it never stopped beating…

Why I do not cease smelling me locked up in presence so much of people?

If you do not believe any more, that will not be useful hoped for anything nevertheless…

Allemand :

Hüten sich Sie, wenn er dunkel… die Geister macht herauskommt aus den Katakomben…

Jemandes hat mein Herz gebrochen…, aber er hat nie aufgehört zu schlagen…

Warum höre ich auf nicht, mir eingeschlossen in Anwesenheit so sehr Leute zu fühlen?

Wenn du nicht mehr glaubst, wird das dienen nichts gehofft trotzdem…

Espagnol :

NON-DISPONIBLE

Alguien rompió mi corazón… pero dejó por siempre de batir…

Porqué no dejo de olerme se trabó para arriba en presencia tanto de la gente?

Si no crees más, eso no será útil esperada cualquier cosa sin embargo…